Stephane Humbert Lucas Crying Of Evil Eau de Parfum est un parfum unisexe épicé. Inspiré par Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire. Projet poétique d'une vie, l'artiste exprime le paradoxe entre le mal et la beauté, l'éternel tiraillement entre le désir d'absolu de l'homme et son attirance pour les vices. Évoluant dans un monde peuplé de créatures sensuelles et de monstres, le dandy poète alterne entre des moments d'intense volupté, d'extase, de douleur et de profonde mélancolie. Alchimie poétique teintée de cuir, de myrrhe, de larmes violettes et de fleurs rares, Crying of Evil Eau de Parfum magnifie la sensibilité à l'extrême et livre, goutte à goutte, toutes les émotions. Un parfum oriental au sillage puissant, animal et intriguant. Un hymne à l'amour de la beauté. Du cuir, un salon subversif, des volutes et des peaux aux couleurs douces. Nous sommes au cœur d'une sorte de long désir et de temps sans fin, qui attire vos risques et périls. Un opéra violet s'enroule autour de vos chevilles, la rose pique vos sens et vous enivre lentement. Le cabaret de nuit ressemble à une sorte de cage aux portes entrouvertes et aux vapeurs violettes. Rester ou partir. Rester un peu plus longtemps, défier la créature qui est en nous, la saisir et lui parler, essayer un accord de harpe ou une prise de la mort. Marchez sur ce fil au bord du lâcher prise, à la frontière nord du corps, pour le corps et l'esprit troublé. Jouez avec ces notes colorées, belles et sombres, comme dans une histoire d'horreur. Un lustre en bois de santal scintille, les murs filment des silhouettes ondulantes, des ectoplasmes désœuvrés et d'une étonnante beauté, du flower power et du tabac précieux, du patchouli indien. Il nous faudra quitter ce monde et ce monde fera le deuil d'une beauté aussi passionnée.
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Notes de Tête: Baies roses, tubéreuse, violette, épices
